MÉTASTASE
La série photographique Métastase prend racine dans la rue, un espace de passage et de consommation où les objets jetés deviennent les témoins d’une époque et d’une réalité urbaine. Ce projet, né de la récupération des canettes abandonnées, détournées en sténopés, appareils photographiques primitifs, se métamorphosent en instruments créatifs.
L’image est prise à l’endroit où la canette a été jetée (caniveau, trottoir, muret…). Laissée là sans considération, rendant l’espace publique répugnant, pour finir dans la nature où sa décomposition prendra plusieurs dizaines voire centaines d’années.
La canette sert ensuite d’encadrement à sa photographie, découpée et pliée ; ainsi ce cadre devient une extension du processus, cherchant à optimiser son recyclage.
Le titre Métastase renvoie à cette idée de propagation et de mutation. Ce projet a pour but d’amener une réflexion, à la fois sur notre manière de consommer, mais aussi sur le civisme et le bon sens.
Est-ce vraiment difficile de mettre une canette, un mégot, un mouchoir ou un emballage quelconque dans une poubelle plutôt que de les jeter aux quatre vents dans la rue ?
L’image est prise à l’endroit où la canette a été jetée (caniveau, trottoir, muret…). Laissée là sans considération, rendant l’espace publique répugnant, pour finir dans la nature où sa décomposition prendra plusieurs dizaines voire centaines d’années.
La canette sert ensuite d’encadrement à sa photographie, découpée et pliée ; ainsi ce cadre devient une extension du processus, cherchant à optimiser son recyclage.
Le titre Métastase renvoie à cette idée de propagation et de mutation. Ce projet a pour but d’amener une réflexion, à la fois sur notre manière de consommer, mais aussi sur le civisme et le bon sens.
Est-ce vraiment difficile de mettre une canette, un mégot, un mouchoir ou un emballage quelconque dans une poubelle plutôt que de les jeter aux quatre vents dans la rue ?
